DOHA ABOELEZZ— DESC.
Pendant la quarantaine, je m'allongeais souvent sous le ventilateur et le regardais danser pendant que je méditais au son de l'air qui circulait dans la pièce: me confinant presque. Alors, pour me détendre, j'imaginais l'extérieur, et je respirais au son de mon imagination. C'est ainsi devenu une danse de l'immobilité ritualisée.
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During quarantine, I would often lay down underneath the fan and watch it dance as I meditate to the sound of the air circulating the room; confining me, almost. So, to ease my mind, I would imagine outdoors, and breathe to the sound of my imagination. And so, it has become a ritualistic dance of stillness.
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